Chrysalide
Attendre encore un peu dans l'ombre où je repose
Prendre le temps qu'il faut pour bien faire les choses
Tenir en équilibre
Sentir le vent qui vibre
En moi
Retarder l'échéance, faudra-t-il qu'il ose,
Sortir de la nuit, faire ma métamorphose
Suspendue par un fil
Je l'attend immobile
Déjà
Suspendue par un fil
Je l'attend immobile
Déjà
Les mensonges, les songes
Les rêves où tu t'exposes
Les voies de garage
Les effets, les causes
Les acides qui rongent
Les grèves où tu t'exportes
Les droits de passage
Qui frappent à ta porte
Descendre encore un peu, à frôler la surface
Des océans gelés, des déserts de glace
Flotter à demi-close
Presque bientôt éclose
Déjà
Garder de la distance, faudra-t-il qu'il fasse
Encore tout ce chemin sous la carapace
Là où je le suppose,
Où son ombre s'impose
Déjà
Dans ce cocon de fer
Ici tout me rassure
Faut-il le laisser faire
Je sais sa nature
Et sous le ciel immense
Je reste et me balance
Sans loi
Et deviner là-bas
La chose-créature
A chacun de ses pas
Des visions impures
Et dans son noir sillage
La marque du naufrage
Déjà
Me sortir de la nuit, de l'ombre où je me pose
Les mensonges, les songes
Les rêves où tu t'exposes
Ramener à la vie le parfum des roses
Les voies de garage
Les effets, les causes
Me sortir de la nuit, de l'ombre où je repose
Les acides qui rongent
Les grèves où tu t'exportes
Ramener à la vie le parfum des roses
Les droits de passage
Qui frappent à ta porte
Est-ce mal de t'aimer ?
Est-ce mal d'aimer ?
Est-ce mal de t'aimer ?
Attendre encore un peu dans l'ombre où je repose
Prendre le temps qu'il faut pour bien faire les choses
Tenir en équilibre
Sentir le vent qui vibre
En moi
Retarder l'échéance, faudra-t-il qu'il ose,
Sortir de la nuit, faire ma métamorphose
Suspendue par un fil
Je l'attend immobile
Déjà
Suspendue par un fil
Je l'attend immobile
Déjà
Les mensonges, les songes
Les rêves où tu t'exposes
Les voies de garage
Les effets, les causes
Les acides qui rongent
Les grèves où tu t'exportes
Les droits de passage
Qui frappent à ta porte
Descendre encore un peu, à frôler la surface
Des océans gelés, des déserts de glace
Flotter à demi-close
Presque bientôt éclose
Déjà
Garder de la distance, faudra-t-il qu'il fasse
Encore tout ce chemin sous la carapace
Là où je le suppose,
Où son ombre s'impose
Déjà
Dans ce cocon de fer
Ici tout me rassure
Faut-il le laisser faire
Je sais sa nature
Et sous le ciel immense
Je reste et me balance
Sans loi
Et deviner là-bas
La chose-créature
A chacun de ses pas
Des visions impures
Et dans son noir sillage
La marque du naufrage
Déjà
Me sortir de la nuit, de l'ombre où je me pose
Les mensonges, les songes
Les rêves où tu t'exposes
Ramener à la vie le parfum des roses
Les voies de garage
Les effets, les causes
Me sortir de la nuit, de l'ombre où je repose
Les acides qui rongent
Les grèves où tu t'exportes
Ramener à la vie le parfum des roses
Les droits de passage
Qui frappent à ta porte
Est-ce mal de t'aimer ?
Est-ce mal d'aimer ?
Est-ce mal de t'aimer ?