Enfin quelque chose d'un peu sérieux.
Bah, oui. Je rigole jamais, moi.
Il s'agit d'une reprise du titre "Plus rien" du groupe québécois "Les Cowboys Fringants". La chanson originale parle de fin du monde. Celle-ci parle d'hémorroïdes, ce qui est un peu pareil, quand on y pense.
Et en québécois, s'il vous plaît.
Bah, oui. Je rigole jamais, moi.
Il s'agit d'une reprise du titre "Plus rien" du groupe québécois "Les Cowboys Fringants". La chanson originale parle de fin du monde. Celle-ci parle d'hémorroïdes, ce qui est un peu pareil, quand on y pense.
Et en québécois, s'il vous plaît.
Les Hémorroïdes
J’ai des hémorroïdes, ça fait ben mal au cul.
A soir j’ai décidé d’aller chez Jean Coutu,
Trouver de quoi pour me faire passer la douleur,
Pour arrêter qu’ça gratte, pour calmer la rougeur.
J’expose mon problème à la dame au comptoir,
Elle dit : « Veux-tu d’la crème ou des suppositoires ? »
Je lui dit « Qu’est-ce qu’est mieux pour les hémorroïdes ? »
Elle me dit : « Les suppo, c’est un peu plus rapide. »
Rentré à la maison, j’enlève à toute vitesse,
Le string de chez Walmart qui me serre les fesses,
Et je me mets bien en face de mon miroir,
Il faut viser juste avec des suppositoires.
J’enfile le premier qui ressort aussitôt.
Y’a un truc qui résiste à l’entrée du tuyau.
Je relis la notice, le suppo à la main,
Et qui commence à fondre jusqu’à c’qui n’y ait plus rien.
Plus rien. Plus rien. Plus rien.
Le lendemain matin chui toujours pas guéri.
Je décide de me rendre chez Familiprix.
J’explique au pharmacien que les suppositoires,
Je veux plus qu’on m’en parle, je veux plus les revoir.
Il me dit « Jean Coutu, c’est des criss d’habitants.
Nous, chez Familiprix, on est plus compétents.
J’va te donner une crème à mettre matin et soir,
Ce sera plus sympa que des suppositoires. »
Je rentre à la maison, j’ai les fesses qui brûlent
Ca irradie même jusque dans les testicules,
J’ouvre le tube de crème et je me badigeonne,
Comme si c’était ma dernière heure qui sonne.
La crème c’est super on la met comme on veut.
Avec un doigt c’est bien, avec deux doigts c’est mieux.
On fait ça chaque soir, et aussi le matin,
Pendant 4 ou 5 jours jusqu’à c’qui n’y ait plus rien.
Plus rien. Plus rien. Plus rien.
J’ai des hémorroïdes, ça fait ben mal au cul.
A soir j’ai décidé d’aller chez Jean Coutu,
Trouver de quoi pour me faire passer la douleur,
Pour arrêter qu’ça gratte, pour calmer la rougeur.
J’expose mon problème à la dame au comptoir,
Elle dit : « Veux-tu d’la crème ou des suppositoires ? »
Je lui dit « Qu’est-ce qu’est mieux pour les hémorroïdes ? »
Elle me dit : « Les suppo, c’est un peu plus rapide. »
Rentré à la maison, j’enlève à toute vitesse,
Le string de chez Walmart qui me serre les fesses,
Et je me mets bien en face de mon miroir,
Il faut viser juste avec des suppositoires.
J’enfile le premier qui ressort aussitôt.
Y’a un truc qui résiste à l’entrée du tuyau.
Je relis la notice, le suppo à la main,
Et qui commence à fondre jusqu’à c’qui n’y ait plus rien.
Plus rien. Plus rien. Plus rien.
Le lendemain matin chui toujours pas guéri.
Je décide de me rendre chez Familiprix.
J’explique au pharmacien que les suppositoires,
Je veux plus qu’on m’en parle, je veux plus les revoir.
Il me dit « Jean Coutu, c’est des criss d’habitants.
Nous, chez Familiprix, on est plus compétents.
J’va te donner une crème à mettre matin et soir,
Ce sera plus sympa que des suppositoires. »
Je rentre à la maison, j’ai les fesses qui brûlent
Ca irradie même jusque dans les testicules,
J’ouvre le tube de crème et je me badigeonne,
Comme si c’était ma dernière heure qui sonne.
La crème c’est super on la met comme on veut.
Avec un doigt c’est bien, avec deux doigts c’est mieux.
On fait ça chaque soir, et aussi le matin,
Pendant 4 ou 5 jours jusqu’à c’qui n’y ait plus rien.
Plus rien. Plus rien. Plus rien.